« Après le plaisir de posséder des livres, il n'en est guère de plus doux que celui d'en parler. » Charles Nodier

"On devient bibliophile sur le champ de bataille, au feu des achats, au contact journalier des bibliophiles, des libraires et des livres."
Henri Beraldi, 1897.

frise2

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mardi 11 mars 2014

Compte-rendu de chine bibliophile au Marché Georges Brassens

Rien.


H

5 commentaires:

calamar a dit…

attention, Hugues : on commence par ne rien trouver, et on finit par perdre la tête.

Pierre a dit…

Vous êtes trop habitué à l'Excellence ;-)) Ce n'est peut-être pas le marché Brassens qui a changé mais vous... Pierre

Lauverjat a dit…

nous ne sommes pas le 14 juillet?

Lauverjat

Anonyme a dit…

Une royale écriture + Brassens, c'est une association risquée loin de la bibliophilie =

Non certes elle n'est pas bâtie Non certes elle n'est pas bâtie
Sur du sable sa dynastie
Sur du sable sa dynastie

Il y a peu de chance que
l'on détrône le roi des...

Xavier

Daniel a dit…

Il n'y a plus rien, plus plus rien...

Ces mots évoquent pour moi ce magnifique texte de Férré

Léo Ferré
IL N'Y A PLUS RIEN


Écoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.

Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle.
C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.

IL n'y a plus rien (...)

Ce texte est un peu long vous le trouverez en entier par ce lien

http://www.frmusique.ru/texts/f/ferre_leo/ilnyaplusrien.htm

Daniel B.

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