tag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post5436876913391905302..comments2024-02-28T09:53:57.375+01:00Comments on Le Blog du Bibliophile, des Bibliophiles, de la Bibliophilie et des Livres Anciens: Débat imprévu.... Couper or not Couper...Unknownnoreply@blogger.comBlogger20125tag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-26384639112982144112007-10-14T22:58:00.000+02:002007-10-14T22:58:00.000+02:00En effet, Jean-Paul et Bertrand ont lancé deux nou...En effet, Jean-Paul et Bertrand ont lancé deux nouvelles pistes de débat, bien éloignées de "Couper or not couper"... je les en remercie, nous les relancerons.<BR/>Et en attendant, je vous coupe, et arrêtons là "Couper or not couper"... Sinon, le blog va devenir le blog du débat bibliophilique sans fin, et si ça ne vous ennuie pas, je préfère en relancer régulièrement. <BR/>Sourire.<BR/>Pour terminer sur le message de Bertrand, et en lien avec la bibliophilisation, j'ai envie de dire : touche pas à mon adn, et touche pas à mes livres!<BR/>Comment ça, je suis pas prêteur?<BR/>HuguesHugueshttps://www.blogger.com/profile/12582356970021393375noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-49990931828441280362007-10-14T22:53:00.000+02:002007-10-14T22:53:00.000+02:00Martin,La définition de la bibliophilisation mérit...Martin,<BR/><BR/>La définition de la bibliophilisation mériterait un exposé bien plus long, alimenté par les nombreuses réflexions de nos amis. Je parlais très schématiquement, pour faire court, de ma façon de voir les choses en matière d'unique ou de multiples exemplaires pour un même texte.Mais il me semble qu'on arrive ici au bout du débat lancé par Hugues ?<BR/><BR/>Jean-PaulAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-15074798995283616482007-10-14T22:50:00.000+02:002007-10-14T22:50:00.000+02:00je crois que le processus de bibliophilisation est...je crois que le processus de bibliophilisation est complexe et sans doute à multiples facettes.<BR/><BR/>Doit-on forcément avoir été en contact précoce avec les livres ? Doit-on aimer lire pour s'initier à la bibliophilie ? Peut-on être bibliophile sans test ADN préliminaire (je plaisante...) ?<BR/><BR/>La question au final ne devrait-elle pas se résumer ainsi :<BR/><BR/>Est-il vraiment nécessaire de posséder un ou plusieurs livres pour être bibliophile ou plus simplement ne peut-on pas être un bibliophile sans livre ?<BR/><BR/>Je crois que c'est possible.<BR/><BR/>Amitiés, BertrandAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-90967880887022176912007-10-14T22:38:00.000+02:002007-10-14T22:38:00.000+02:00Jean-Paul, Parlez vous de vous même ou définissez ...Jean-Paul, Parlez vous de vous même ou définissez vous la bibliophilisation?<BR/>MartinAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-25403654215210952292007-10-14T19:10:00.000+02:002007-10-14T19:10:00.000+02:00A vous lire, vous avez tous frôlé une autre notion...A vous lire, vous avez tous frôlé une autre notion fondamentale : le passage du goût de la lecture à l'amour des livres, ce qui a été appelé la bibliophilisation, conversion du simple lecteur en bibliophile.Je ne peux lire le texte qui m'intéresse que dans le seul exemplaire que j'ai choisi ; je n'en ai pas besoin d'autre ; quant au prêt, je le refuse, les bibliothèques publiques sont faites pour cela. Je parle bien sûr ici de livres de bibliophilie et non de livres de documentation.<BR/><BR/>Jean-PaulAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-23963928068891001172007-10-14T17:57:00.000+02:002007-10-14T17:57:00.000+02:00Je ne suis pas si catégorique. J'essaie le plus so...Je ne suis pas si catégorique. J'essaie le plus souvent de lire les livres anciens que je possède. Et je trouve que pour ceux qui me sont chers, et dont j'affectionne particulièrement le texte, il est moins "dangereux" de les lire dans des éditions modernes. Un exemplaire pour le plaisir, un pour la lecture, qui est aussi un plaisir, et si un ami est tenté par la lecture, je préfère en général lui offrir une édition moderne.<BR/>Dans quelques cas, je pense à mon Vestergan manuscrit, il est plus prudent de lire une édition plus moderne que de détériorer le livre ancien par de nouvelle lectures (ce qui ne m'empêche de le feuilleter).<BR/>Lire un livre ancien, oui, dès que c'est possible, mais pas toujours. Mais ce sera le sujet d'un autre débat.<BR/>HuguesHugueshttps://www.blogger.com/profile/12582356970021393375noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-84127358853145405692007-10-14T17:27:00.000+02:002007-10-14T17:27:00.000+02:00Je voue aussi un culte graalesque à mes exemplaire...Je voue aussi un culte graalesque à mes exemplaires, que des critères parfaitement subjectifs rendent paticulièrement précieux. Mais je les lis tous, soit directement, soit dans des éditions moins fragiles...ou des traductions plus abordables.<BR/>Etre bibliophile, c'est lire ausi, pour que la possession soit complète, tout à fait OK.<BR/><BR/>LambanoAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-2762214687768122922007-10-14T16:33:00.000+02:002007-10-14T16:33:00.000+02:00Je suis absolument d'accord avec vous Bertrand, en...Je suis absolument d'accord avec vous Bertrand, en ce qui me concerne, simplement, j'ai du mal à distinguer ces 2 dimensions. Mon plaisir de lecture est en partie déterminée par l'objet et vice-versa, c'est pour cela qu'il m'est difficile d'envisager d'avoir un exemplaire réservé au plaisir des yeux et un autre au plaisir de lire. <BR/><BR/>Et pour ma part, je parle plutôt que de culte de fétichisme.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-14783173826954510152007-10-14T16:15:00.000+02:002007-10-14T16:15:00.000+02:00Qu'on tourne ou qu'on vire, je pense qu'on ne pour...Qu'on tourne ou qu'on vire, je pense qu'on ne pourra pas sortir de cette vision qui veut que pour le bibliophile le livre est "aussi" et surtout un "objet", témoignage historique primordial, sorte de Graal inviolable et sacré, à qui respect et vénération sont dus.<BR/><BR/>Si nous n'étions ici que pour parler de lecture et d'amour de lire, ce serait le blog du magazine littéraire et pas le blog du bibliophile, non ?<BR/><BR/>Ce qui différencie le bibliophile du simple lecteur (et il n'y a rien ni de péjoratif ni de réducteur dans ce terme), c'est bien ce côté "culte" qui nous lie (et qui dit culte, dit icône, et qui dit icône dit "exposition", d'où peut-être il est vrai, ce côté arrogant et ostentatoire de la bibliophilie).<BR/><BR/>Voilà mon sentiment.<BR/><BR/>Amitiés bibliophiliques, BertrandLibrairie L'amour qui bouquine Livres Rares | Rare Bookshttps://www.blogger.com/profile/00237481472050174294noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-62638701884080388642007-10-14T16:04:00.000+02:002007-10-14T16:04:00.000+02:00Je ne suis pas d'accord avec cette maxime, du moin...Je ne suis pas d'accord avec cette maxime, du moins je ne m'y reconnais pas. <BR/>Lorsque j'achète un livre, une édition rare comme un livre de poche, je ne différencie pas le contenu et le contenant, c'est un tout. C'est à dire, que j'achète tous mes livres pour les lire, quand bien même je l'ai déjà lu dans une autre édition. <BR/>C'est assez difficile à expliquer, mais j'ai un rapport charnel et intellectuel avec chaque exemplaire, je le renifle, le tâte et le lis (parfois qu'en partie), c'est ma manière de me l'approprier. Bref, je n'imagine pas acheter des exemplaires "d'expositions". Chacun, je crois, a un rapport très personnel, parfois irrationnel, à ces livres. Je ne peux expliquer le mien, en tout cas, cette diversité me parait irréductible à des règles du bon bibliophile.<BR/><BR/>En ce qui concerne la question des prêts, je n'ai pas de solution. Il est très difficile de refuser à quelqu'un de lui prêter un livre et en même temps beaucoup sont incapables de comprendre le soin maniaque qu'on leur prodigue. Bien souvent, on m'a rendu des livres (dans des éditions courantes) cassés, salis.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-38466751271559939672007-10-14T14:48:00.000+02:002007-10-14T14:48:00.000+02:00Sur le nombre d'exemplaire à posséder, je rappelle...Sur le nombre d'exemplaire à posséder, je rappelle le principe de sir Richard Heber, qui laissa à sa mort (1833) 150 000 volumes. "Un bon bibliophile doit avoir trois exemplaires de chaque ouvrage intéressant, et s'employer à les trouver: le plus beau pour le montrer, le second pour s'en servir, le troisième pour être mis à la disposition des amis.» <BR/>Vaste programme<BR/>HHugueshttps://www.blogger.com/profile/12582356970021393375noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-41154666025433861642007-10-14T14:33:00.000+02:002007-10-14T14:33:00.000+02:00Pour répondre à Jean-Paul, je dirais que oui, je p...Pour répondre à Jean-Paul, je dirais que oui, je pense que le summum en matière de bibliophilie serait :<BR/><BR/>1. de lire le livre que l'on a acheté.<BR/><BR/>2. en posséder un exemplaire exceptionnel soit par l'envoi, soit par la reliure, soit par tout autre élément.<BR/><BR/>3. en posséder un exemplaire que l'on serait à même de prêter ou offrir à ses amis.<BR/><BR/>Sachant que pour la proposition 2. chaque élément, reliure, envoi, papier, etc, offre autant de critères pour conserver à chaque fois 1 exemplaire.<BR/><BR/>Cela touche sans doute à la biblio-maniaquerie mais bon... ne sommes-nous pas tous un peu fous ici ?<BR/><BR/>Evidemment ce sera plus facile à réussir avec des Henri Bordeaux ou des François Coppée qu'avec des Songes de Poliphile... j'en conviens...<BR/><BR/>Encore que celui qui tente tout réussit beaucoup !<BR/><BR/>Les grands amateurs des siècles passés ne négligeaient pas d'avoir 2 ou 3 exemplaires du même livre dans des conditions différentes dans leur bibliothèque (reliures différentes, exemplaires uniques, etc).<BR/><BR/>Fous des livres j'entends.<BR/><BR/>PS : je n'ai rien entendu non plus au message sybillin du commandeur...<BR/><BR/>Amitiés bibliophiliques, BertrandLibrairie L'amour qui bouquine Livres Rares | Rare Bookshttps://www.blogger.com/profile/00237481472050174294noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-83274260213916366092007-10-14T14:28:00.000+02:002007-10-14T14:28:00.000+02:00Martin,Je suis aussi idiot que vous... Si notre am...Martin,<BR/><BR/>Je suis aussi idiot que vous... Si notre ami voulait bien nous expliquer, merci.<BR/>Cordialement aux deux<BR/><BR/>Jean-PaulAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-56376962464443920822007-10-14T14:23:00.000+02:002007-10-14T14:23:00.000+02:00Je comprends le raisonnement de Bertrand. En tant ...Je comprends le raisonnement de Bertrand. En tant que libraire, il est logique qu'il transmette l'exemplaire dans l'état où il le reçoit...<BR/><BR/>Maintenant, croyez-le et je parle d'expérience, il est de grands bibliophiles, dont pourquoi pas Barthou, qui n'ouvrent pas leurs livres...<BR/><BR/>Coupons, coupons... avec discernement mais coupons...<BR/><BR/>Martin<BR/><BR/>P.S. : je dois être idiot, mais le message du commandeur... rien compris.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-78303945494043628332007-10-14T14:19:00.000+02:002007-10-14T14:19:00.000+02:00Bertrand,Dans la première partie de votre démonstr...Bertrand,<BR/><BR/>Dans la première partie de votre démonstration, vous avez totalement éludé la notion d'exemplaire. Pourtant, c'est au nom de cette notion que vous, libraire, le transmettrez à un amateur. Faut-il donc, comme certains l'ont préconisé au XIXe siècle, avoir trois exemplaires d'une même édition : un pour la montre, un pour le prêt et un pour la lecture ? Ce qui ne résoud rien si la reliure s'invite dans le problème !<BR/><BR/>Cordialement<BR/>Jean-PaulAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-3760873866775453472007-10-14T14:11:00.000+02:002007-10-14T14:11:00.000+02:00Tout à fait d'accord avec vous, Bertrand, votre sy...Tout à fait d'accord avec vous, Bertrand, votre synhèse est lumineuse.<BR/><BR/>Il faut savoir porter le fer avec discernement, c'est le premier devoir du bibliophile; sinon nos successeurs nous en voudront.<BR/><BR/><BR/>LambanoAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-60900309394522072782007-10-14T13:55:00.000+02:002007-10-14T13:55:00.000+02:00Bonjour à tous,je vais donner mon avis, forcément ...Bonjour à tous,<BR/>je vais donner mon avis, forcément schizophrène, de libraire-bibliophile ou de bibliophile-libraire, comme vous préférez.<BR/><BR/>Tout d'abord mon avis de libraire.<BR/><BR/>Vous ne trouverez pas curieux (j'espère) que je me fasse un devoir de transmettre aux amateurs les exemplaires dans l'état où je les trouve.<BR/><BR/>A savoir. Si l'ouvrage que je propose est non coupé, je me dois en tant que libraire de le transmettre au futur acquéreur, dans le même état.<BR/><BR/>Donc, même si c'est un texte intéressant pour le libraire... il ne le lit pas !<BR/><BR/>Encore que. Une solution bien simple existe toutefois pour pouvoir lire un livre non coupé... <BR/><BR/>En trouver un second exemplaire coupé celui-là. Et puisque ce problème, s'il en est un, ne se pose que pour les livres du XIXè au XXè siècle (bien qu'il existe encore quelques non coupés au XVIIè et XVIIIè siècle, mais beaucoup plus rarement), alors le texte à lire ne doit pas être si difficile à trouver.<BR/><BR/>Ma position de libraire est donc la suivante : Je transmets les livres tels que je les trouve. C'est à mon avis un devoir pour le libraire, sinon il change le cours de l'histoire de l'exemplaire qu'il propose, et ça, il n'en a pas le droit.<BR/><BR/>Un exemple concret pour illustrer mon propos.<BR/><BR/>J'ai eu entre les mains, il y a quelques temps déjà, un exemplaire d'un ouvrage de Colette, broché, sur papier ordinaire, avec sur le faux-titre l'envoi suivant : "A Monsieur Louis Barthou, etc etc...".<BR/><BR/>Tout le monde ici ou presque connait le célèbre bibliophile Louis Barthou, ministre par ailleurs et mort assassiné.<BR/><BR/>Et bien son exemplaire offert et dédicacé par Colette était non coupé ! Que penser ?<BR/><BR/>Louis Barthou était-il homme à ne pas avoir lu l'ouvrage que la délicieuse Colette lui avait offer ? Personnellement je ne pense pas. Je pencherais plutôt pour dire que M. Barthou avait sur ses rayons surchargés, un autre exemplaire de ce titre, sans envoi celui-là, et qu'il l'a lu.<BR/><BR/>Mon avis de bibliophile maintenant.<BR/><BR/>Mon plus grand plaisir en bibliophilie a sans doute été il y a plus de deux ans maintenant, d'ouvrir les quelques 10.000 pages de l'ensemble des Bulletins de la Librairie Morgand et Fatout.<BR/><BR/>En effet, j'ai acheté un exemplaire broché de ces magnifiques catalogues.<BR/><BR/>10 volumes in-8 de plus ou près de 1.000 pages chaque ! un travail de coupage de titan... et pas droit à l'erreur sur une seule page...<BR/><BR/>Et depuis, ayant lu et relu ces précieux catalogues, toujours avec le même plaisir, j'en ai fais le travail que vous savez (à savoir la numérisation complète sur CD-ROM de l'ensemble. Disponible gratuitement.)<BR/><BR/>Donc je confirme qu'en tant que bibliophile il n'est guère de plus grand plaisir que de couper un ouvrage pour le lire et suit d'accord avec tous les intervenants du blog sur le sujet.<BR/><BR/>Je comprends également cependant le point de vue de Lambano qui considère le livre comme un objet historique sur lequel nous n'avons pas de droits de modification. En fait cela dépend des livres en question, leur importance historique ou littéraire.<BR/><BR/>Une autre question me vient ?<BR/><BR/>Avez-vous déjà été confronté aux pages encore collées ensemble par la dorure des tranches d'un livre ancien cette fois ?<BR/><BR/>Pour ma part, cela m'arrive assez souvent. C'est l'équivalent des livres non coupés pour les ouvrages les plus anciens.<BR/><BR/>L'amateur a acheté son ouvrage, l'a fait soigneusement relié, les tranches ont été délicatement dorées, le livre a été posé dans la bibliothèque et ensuite... <BR/><BR/>l'ouvrage a traversé les siècles sans plus jamais avoir été ouvert une seule fois !<BR/><BR/>C'est assez déconcertant et intimidant lorsque cela arrive pour un livre du XVIIIè siècle, voire du XVIIIè sièle (je dois avouer que cela ne m'est encore jamais arrivé pour un livre du XVIè siècle). Et le libraire est bien obligé de séparés ces feuillets encore collés aux extrémités s'il veut faire un collationnement complet et digne de ce nom.<BR/><BR/>Voilà mes avis sur la question qui était fort intéressante à débattre,<BR/><BR/>Amitiés bibliophiliques, BertrandLibrairie L'amour qui bouquine Livres Rares | Rare Bookshttps://www.blogger.com/profile/00237481472050174294noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-20411037891906898292007-10-14T13:50:00.000+02:002007-10-14T13:50:00.000+02:00Si les statues du commandeur vous disent " ce livr...Si les statues du commandeur vous disent " ce livre dédicacé à Victor Hugo et qu'il n'a pas ouvert, ce qui est insoutenable pour les grands curieux que nous sommes; n'hésitez pas, mettez y vos coupe-papiers d'ivoire pour voir ce que ce livre racontait car nous sommes de vrais bibliophiles".<BR/><BR/><BR/><BR/>...vite, déconnectez-vous.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-76695706613786608032007-10-14T12:07:00.000+02:002007-10-14T12:07:00.000+02:00« Le seul plaisir qu’un livre me procure encore, c...« Le seul plaisir qu’un livre me procure encore, c’est le frisson du couteau d’ivoire dans ses pages non coupées : c’est une virginité comme une autre et cela est toujours bon à prendre » (Théophile Gautier, Les jeunes France, 1833, préface).<BR/>Ce blog peut s'enorgueillir de compter de vrais bibliophiles, amoureux de l'objet livre mais aussi du texte, lecteurs et non investisseurs.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-4940729109550317134.post-11316405720117244302007-10-14T12:03:00.000+02:002007-10-14T12:03:00.000+02:00Je n'ai plus grand chose à ajouter au débat, si ce...Je n'ai plus grand chose à ajouter au débat, si ce n'est une chose: Hugues pourriez vous ajouter ce S que j'ai oublié à "foi". En première page de votre blog, j'en éprouve une certaine honte. MerciAnonymousnoreply@blogger.com