Amis Bibliophiles Bonsoir,
Comment conclure ce débat dont j'espère que vous l'aurez trouvé aussi passionnant que moi. Merci pour vos nombreux commentaires, et pour ceux qui ont poursuivi la discussion en m'envoyant directement des emails...
A ma gauche, les traditionalistes, qui se reposent plutôt sur des arguments énoncés au 19ème, à ma droite, des avis un peu plus ouverts. Et moi, au milieu...
Hum... En tout cas, je crois que j'ai ma réponse. Il est probable que j'opte pour une chemise et un étui, ou un emboîtage, les deux en plein maroquin, de style pastiche.
Mais... et c'est le scoop, c'est Martin Sartorius qui, par email, m'a indiqué une autre voie. Il est probable qu'en m'inspirant d'un extrait de Béraldi (Estampes et livres), je me prête à une petite transaction sur les ouvrages en question, avec les concours d'un libraire ou deux : remplaçant mes exemplaires par d'autres, reliés en vélin de l'époque, et qui présentent l'intérêt d'être reliés ensemble.
Je sais que vous aimeriez connaître les ouvrages en question, mais laissez moi un peu de temps, si tout se passe bien, je reviendrais rapidement vers vous avec un message sur le sujet.Comment conclure ce débat dont j'espère que vous l'aurez trouvé aussi passionnant que moi. Merci pour vos nombreux commentaires, et pour ceux qui ont poursuivi la discussion en m'envoyant directement des emails...
A ma gauche, les traditionalistes, qui se reposent plutôt sur des arguments énoncés au 19ème, à ma droite, des avis un peu plus ouverts. Et moi, au milieu...
Hum... En tout cas, je crois que j'ai ma réponse. Il est probable que j'opte pour une chemise et un étui, ou un emboîtage, les deux en plein maroquin, de style pastiche.
Mais... et c'est le scoop, c'est Martin Sartorius qui, par email, m'a indiqué une autre voie. Il est probable qu'en m'inspirant d'un extrait de Béraldi (Estampes et livres), je me prête à une petite transaction sur les ouvrages en question, avec les concours d'un libraire ou deux : remplaçant mes exemplaires par d'autres, reliés en vélin de l'époque, et qui présentent l'intérêt d'être reliés ensemble.
Donc au final... chemise, étui... ou vélin.
Dans tous les cas, cet intéressant débat me conforte dans l'idée que je me faisais du blog, à savoir un espace d'échanges entre bibliophiles, qui, avouons-le, ont en général peu d'occasions de débattre, non?
Allez, vous avez bien mérité une énigme ce soir...
HP.S. : si vous avez des idées de débat, n'hésitez pas à m'en faire part.
Images : l'extrait du Béraldi.... alors, ça vous inspire?
Et bien, le débat précédant pourrait en relancer un nouveau: "du traditionalisme en bibliophilie"
RépondreSupprimerVoir, pour être un peu plus provoquant: "de la rigidité en milieu bibliophile..." :))
RépondreSupprimerTout à fait A.A.A.,
RépondreSupprimerd'ailleurs un autre débat s'esquisse de lui-même :
La bibliophilie moderne du n'importe quoi.
Amitiés traditionalistes, Bertrand
Paix, paix, Mercutio, paix. Tu nous parles de riens !
RépondreSupprimerHugues
(Roméo & Juliette)
En effet, je parle des rêves, ces enfants d'un cerveau en délire, que peut seule engendrer l'hallucination, aussi insubstantielle que l'air, et plus variable que le vent qui caresse en ce moment le sein glacé du nord, et qui, tout à l'heure, s'échappant dans une bouffée de colère, va se tourner vers le midi encore humide de rosée !
RépondreSupprimerMercutio pour Bertrand
Les débats vont tellement vite que l'on n'a pas le temps d'y participer ! On ne peut même plus partir en week-end !
RépondreSupprimerJe suis plutôt de l'école "moderne" qui considère qu'il vaut mieux conserver dans son état un beau livre broché que de "risquer" de le faire relier, opération presque irréversible.
Sujet de débat : comment inventer une nouvelle sociabilité dans le monde de la bibliophilie ? L'époque des soirées de l'Arsenal, avec Nodier (si ma mémoire est bonne) est révolue. Les sociétés de bibliophiles, s'il en existe encore, me semblent totalement fermées. Les sociétés savantes, qui pouvaient aussi être un lieu d'échanges sur le livre, sont souvent maintenant une annexe de l'érudition professionnelle, c'est à dire celle de l'université et des instances culturelles (bibliothèques, archives, musées, etc), érudition dont je ne critique pas les mérites, mais qui laisse peu de place aux amateurs (je n'ai pas dit rigolos ! pour reprendre un vieil échange). En définitive, Internet sera-t-il le nouveau medium pour créer des réseaux de bibliophiles ? Le succès de ce blog tendrait à le prouver.
Jean-Marc
C'est une question que je me suis posé... Je ne suis pas certain que notre époque puisse être celle des grandes sociétés de bibliophiles. Alors le blog, oui... Mais bon, je vous avoue que parfois, c'est crevant!
RépondreSupprimer:)
H
Moins fumer des trucs illicites avant de pondre une énigme le lundi soir donnerait beaucoup moins de fatigue...
RépondreSupprimerC'est garanti !
Amitiés, Bertrand