Amis Bibliophiles Bonsoir,
Qu'il est bon, lorsqu'on a (momentanément) moins de temps à consacrer au blog pour des raisons professionnelles et familiales, de pouvoir compter sur des amis pour vous soutenir.
Aussi, je vous propose de retrouver ce soir une des rubriques qui firent le succès du blog, une énigme pour bibliophile. Elle vous est proposée par Lauverjeat. Je le remercie très amicalement.
Érasme a dit à mon encontre:
“J’aurais donné cent pièces d’or
pour que cela ne fût pas arrivé”
le vers de Malherbe
“Et rose, elle a vécu ce que vivent les roses
l’espace d’un matin.”
Me doit tout dit-on.
S’agit-il d’un homme de bien,
Tu n’en fais un homme de rien;
Fait-il quelque action insigne,
Ta malice la rend indigne,
enfin Robert Estienne donnait cinq sols au-devant de son imprimerie à qui me trouvait.
Qui suis-je?
Avez-vous trouvé?
H
Je suis la coquille (typographique, bien sur).
RépondreSupprimerMerci à Wikipédia, article Malherbe, qui m'a mis sur la piste !
Et merci aussi à Hugues et à Lauverjeat pour cette belle énigme bibliophilique.
Philippe.
Philippe! Il fallait envoyer votre réponse par e-mail à Hugues, plutôt que de la publier! Vous nous otez tout le mérite de la trouvaille!
RépondreSupprimer;o)
Mais bravo à vous!
Cette énigme si était facile...
RépondreSupprimerJ'imagine que chacun connait la "légende" (?) concernant l'apparition du terme. Ce serait un ouvrier typographe qui voulant en écrire le mot oublia le Q. Le sens de la phrase en fut quelque peu change et le terme restera.
A.A.A
La première coquille typographique connue se trouve dans le "Psautier" de 1457 : "Spalmorum codex" au lieu de "Psalmorum codex". Elle fut corrigée dans la seconde édition de 1459.
RépondreSupprimerJ'arrive après la bataille, mais chic, j'adore les énigmes !
RépondreSupprimer