Je connais très peu les aldes, je recherche peu (pour le moment ?) les post-incunables, mais le Pline, là je dois avouer... Et puis le Monsieur qui but l'eau de la fontaine Molière qui y a laissé sa griffe ; merci de nous l'avoir déniché... Trop cher pour moi, un jour peut être... Une fois de plus, tu me permets de découvrir une merveille, et me donnes envie d'en savoir plus, merci !
Mais c'est un festival... Calamar et Montag, bibliophiles aux bibliothèques remplies d'Almanachs Vermot. :)
Je n'ai aucun avis sur l'ex-libris manuscrit, c'était justement pour avoir vos avis. Un lecteur du blog vient par ailleurs de m'envoyer un ex-dono manuscrit du bon Boileau qui signe Despréaux...
Bonjour, Il y a quelques temps, une regrettable affaire de règlement non soldé d’un ouvrage d’Androuet du Cerceau mettait aux prises sur ce blog un particulier, Mr Elzière et un libraire, Mr Coulier (Artciboldo). Les clairs arguments avancés par Mr Elzière (à qui il est encore dû le solde susdit) ne reçurent qu’une unique, tardive et à vrai dire assez confuse et peu amène réponse de Mr Coulier (qui déclarait-entre autres- de manière pour le moins assez cavalière qu’il ne réglerait ce montant que lorsque lui-même serait payé par le client à qui il avait vendu l’ouvrage d’Androuet du Cerceau à lui confié par Mr Elzière). Renseignements pris, ladite affaire (qui dure depuis avril 2010 !) ne semble toujours pas terminée – rappelons qu’il s’agit d’un solde de 500 euros en faveur de Mr Elzière. Ce dernier, depuis l’échange sur le Blog du bibliophile, a maintes fois essayé de recontacter Mr Coulier au téléphone et lui a fait parvenir un certain nombre de mails, tout cela sans succès et sans aucune réponse. Une lettre recommandée de Mr Elzière, avec A/R, envoyée le 18 octobre dernier– dont la publication in-extenso ici même serait particulièrement souhaitable et éclairante sur le déroulement de cette affaire - si elle a bien été reçue par Mr Coulier, comme en témoigne le récépissé obtenu, n’a pas eu plus de chance ni de suite. Il serait très intéressant de connaître les arguments de Mr Coulier – cette fois-ci recevables, si possible – motivant son refus de répondre à son interlocuteur (nous le remercions à l’avance d’éviter le thème quelque peu enfantin par lui déjà utilisé du « harcèlement») et justifiant l’extraordinaire et scandaleux retard apporté au règlement du montant (quand même bien modeste) qu’il doit encore à Mr Elzière. Bruno Marty
Je connais très peu les aldes, je recherche peu (pour le moment ?) les post-incunables, mais le Pline, là je dois avouer... Et puis le Monsieur qui but l'eau de la fontaine Molière qui y a laissé sa griffe ; merci de nous l'avoir déniché... Trop cher pour moi, un jour peut être... Une fois de plus, tu me permets de découvrir une merveille, et me donnes envie d'en savoir plus, merci !
RépondreSupprimerBenoît P.
Hum,
RépondreSupprimerBoileau Louis, Paul, pharmacien à Bagnères-de-Luchon (1812), peut-être ?
Lui, c'est sûr qu'il a bu de l'eau de la fontaine...
Comment être sûr ?
Montag
petit conseil amical :
RépondreSupprimerarrêtez d'exposer vos Pline !
La marque des Pline va encore faire débat sur cette page.
RépondreSupprimerMontag
Mais c'est un festival... Calamar et Montag, bibliophiles aux bibliothèques remplies d'Almanachs Vermot. :)
RépondreSupprimerJe n'ai aucun avis sur l'ex-libris manuscrit, c'était justement pour avoir vos avis. Un lecteur du blog vient par ailleurs de m'envoyer un ex-dono manuscrit du bon Boileau qui signe Despréaux...
A comparer donc.
Hugues
Si Boileau signait Despréaux, celui d'Ebay doit plutôt être Boileau-Narcejac...
RépondreSupprimerTextor
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RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerIl y a quelques temps, une regrettable affaire de règlement non soldé d’un ouvrage d’Androuet du Cerceau mettait aux prises sur ce blog un particulier, Mr Elzière et un libraire, Mr Coulier (Artciboldo). Les clairs arguments avancés par Mr Elzière (à qui il est encore dû le solde susdit) ne reçurent qu’une unique, tardive et à vrai dire assez confuse et peu amène réponse de Mr Coulier (qui déclarait-entre autres- de manière pour le moins assez cavalière qu’il ne réglerait ce montant que lorsque lui-même serait payé par le client à qui il avait vendu l’ouvrage d’Androuet du Cerceau à lui confié par Mr Elzière).
Renseignements pris, ladite affaire (qui dure depuis avril 2010 !) ne semble toujours pas terminée – rappelons qu’il s’agit d’un solde de 500 euros en faveur de Mr Elzière.
Ce dernier, depuis l’échange sur le Blog du bibliophile, a maintes fois essayé de recontacter Mr Coulier au téléphone et lui a fait parvenir un certain nombre de mails, tout cela sans succès et sans aucune réponse. Une lettre recommandée de Mr Elzière, avec A/R, envoyée le 18 octobre dernier– dont la publication in-extenso ici même serait particulièrement souhaitable et éclairante sur le déroulement de cette affaire - si elle a bien été reçue par Mr Coulier, comme en témoigne le récépissé obtenu, n’a pas eu plus de chance ni de suite.
Il serait très intéressant de connaître les arguments de Mr Coulier – cette fois-ci recevables, si possible – motivant son refus de répondre à son interlocuteur (nous le remercions à l’avance d’éviter le thème quelque peu enfantin par lui déjà utilisé du « harcèlement») et justifiant l’extraordinaire et scandaleux retard apporté au règlement du montant (quand même bien modeste) qu’il doit encore à Mr Elzière.
Bruno Marty
Bibliophile, bois l'eau et le fiel mêlés !
RépondreSupprimerMontag