Ces mots évoquent pour moi ce magnifique texte de Férré
Léo Ferré IL N'Y A PLUS RIEN
Écoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.
Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle. C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps. Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti... C'est vraiment con, les amants.
IL n'y a plus rien (...)
Ce texte est un peu long vous le trouverez en entier par ce lien
attention, Hugues : on commence par ne rien trouver, et on finit par perdre la tête.
RépondreSupprimerVous êtes trop habitué à l'Excellence ;-)) Ce n'est peut-être pas le marché Brassens qui a changé mais vous... Pierre
RépondreSupprimernous ne sommes pas le 14 juillet?
RépondreSupprimerLauverjat
Une royale écriture + Brassens, c'est une association risquée loin de la bibliophilie =
RépondreSupprimerNon certes elle n'est pas bâtie Non certes elle n'est pas bâtie
Sur du sable sa dynastie
Sur du sable sa dynastie
Il y a peu de chance que
l'on détrône le roi des...
Xavier
Il n'y a plus rien, plus plus rien...
RépondreSupprimerCes mots évoquent pour moi ce magnifique texte de Férré
Léo Ferré
IL N'Y A PLUS RIEN
Écoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.
Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle.
C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.
IL n'y a plus rien (...)
Ce texte est un peu long vous le trouverez en entier par ce lien
http://www.frmusique.ru/texts/f/ferre_leo/ilnyaplusrien.htm
Daniel B.