mardi 11 mars 2014

Compte-rendu de chine bibliophile au Marché Georges Brassens

Rien.


H

5 commentaires:

  1. attention, Hugues : on commence par ne rien trouver, et on finit par perdre la tête.

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  2. Vous êtes trop habitué à l'Excellence ;-)) Ce n'est peut-être pas le marché Brassens qui a changé mais vous... Pierre

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  3. nous ne sommes pas le 14 juillet?

    Lauverjat

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  4. Une royale écriture + Brassens, c'est une association risquée loin de la bibliophilie =

    Non certes elle n'est pas bâtie Non certes elle n'est pas bâtie
    Sur du sable sa dynastie
    Sur du sable sa dynastie

    Il y a peu de chance que
    l'on détrône le roi des...

    Xavier

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  5. Il n'y a plus rien, plus plus rien...

    Ces mots évoquent pour moi ce magnifique texte de Férré

    Léo Ferré
    IL N'Y A PLUS RIEN


    Écoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.

    Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle.
    C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps.
    Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
    C'est vraiment con, les amants.

    IL n'y a plus rien (...)

    Ce texte est un peu long vous le trouverez en entier par ce lien

    http://www.frmusique.ru/texts/f/ferre_leo/ilnyaplusrien.htm

    Daniel B.

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