"Interdit, prohibé, mis à l'index, brûlé même... On m'aura tout fait ou presque...
Mot de la langue française, je suis employé au 18ème siècle par les gens du métier pour désigner familièrement les livres prohibés.
Pour arriver jusqu'à mon lecteur, je suis parfois imprimé sur des presses portatives, ou je dois courir les chemins sur le dos des colporteurs et autres passeurs qui feront tout pour m'amener jusqu'à mes lecteurs.
Je suis connu de l'Encyclopédie, qui dit de moi que je ne suis point un terme fort académique, et que je désigne précisément, un ouvrage imprimé sans privilège, sans approbation, sans nom d'imprimeur ou de lieu, furtivement. Elle blâme d'ailleurs ceux qui se prêtent à ma fabrication..
Je suis, je suis?"
Un indice : on pourrait dire, en quelque sorte, que je suis un livre pirate.
Si vous avez la bonne réponse, envoyez moi un email (mieux) ou inscrivez votre réponse en commentaire (moins bien).
H
P.S. : je rappelle le score, Messire Guillaume de Baskerville 2, votre serviteur 1... tous les autres...0 (allez, on se réveille!)
a part une contrefaçon... Je ne vois pas...
RépondreSupprimerCe serait un peu trop simple.
RépondreSupprimerCe n'est pas ça Philippe.
H
Je m'en doutais! ;) Mais même en cherchant tous les articles de l'encyclopédie qui pouvaient avoir rapport à la librairie, je n'ai pas trouvé!
RépondreSupprimeridem pour moi,
RépondreSupprimerj'abdique même en ayant cherché dans l'Encyclopédie Diderot et d'Alembert...
Amicalement, Bertrand
Je crois qu'on a tous fait ça
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