« Après le plaisir de posséder des livres, il n'en est guère de plus doux que celui d'en parler. » Charles Nodier

"On devient bibliophile sur le champ de bataille, au feu des achats, au contact journalier des bibliophiles, des libraires et des livres."
Henri Beraldi, 1897.

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lundi 22 juillet 2013

Histoire sans paroles, dans la famille Winners, donnez-moi l'héritier

Amis Bibliophiles bonsoir,

Histoire sans paroles, ou qui se passe de commentaires.

Si toi aussi tu veux être un winner, si tu veux des conseils de winner, alors achète Winner Magazine, le magazine qu'il fallait inventer... ou pas.


Mais au fait, une question me turlupine, pour qu'il y ait un winner, il faut bien un/des losers, non?

H

6 commentaires:

Anonyme a dit…

J'ai toujours pensé que la frontière entre winner et looser était mince ... très mince ... les transfuges ne sont pas rares, dans un sens comme dans l'autre.

Personnellement je préfère la campagne ...

Korben Dallas

Daniel a dit…

Il fait trop chaud pour la campagne ce jour, alors je reste à l'ombre et je file voir les aristo-chats avec mes enfants, au Dysney Land du manuscrit l'aveugle est roi. Puisque notre winner aime les mots, il devrait méditer cette célèbre citation : La roche Tarpéienne est proche du Capitole.

Daniel B.

Pierre a dit…

Il y a aussi : cave ne cadas... En contrepartie, il ne faut quand même pas être trop critique avec les gens entreprenants... Pierre

calamar a dit…

ce qu'il y a de bien avec les citations et proverbes, c'est qu'il y en a pour toutes les situations. Pour la défense, par exemple : les chiens aboient, la caravane passe.

Anonyme a dit…

En quoi le fait d'entreprendre devrait minorer la critique ?

Je ne vois aucun raison à ça, si ce n'est un parti pris.

Nicolas

Daniel a dit…

Une entreprise éthique devrait être positive pour tous les partis, là elle fait le bonheur des vendeurs de manuscrit qui profitent de la bulle, de Lhéritier, du patrimoine français dans une certaine mesure,(ce qui n'est déjà pas si mal), pour les petits porteurs de parts de manuscrits payés au prix très très fort, seul l'avenir le dira pas certain qu'ils soient winner. L'idée de l'achat partagé est bonne, mais ici, c'est un peu comme si on vous vendait des Sicav actions 10 fois le prix des actions qui sont dedans, je ne suis pas du tous spécialiste de finance, mais mon sens paysan me dit que c'est étrange ? Après tout la Caisse d'Epargne a bien fait acheter ses avoirs pourris via Natexis à ses petits porteurs quelques semaines avant le crash... et personne ne dit rien.
Peut être qu'un jour on évoquera une chute vertigineuse des cours du manuscrit et que personne ne trouvera rien à dire, si ce n'est que c'est dans l'ordre des choses, et des cycles économiques; Faut bien que les Français puissent s'amuser avec leurs bas de laine en toute liberté ;-))

Daniel B.

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