Lorsque l’on évoque le faux en bibliophilie, on pense généralement aux manipulations effectuées au niveau du papier, des pages, des gravures, d’un envoi, à la recomposition d’un exemplaire complet à partir de plusieurs incomplets, voire dans le cas de la reliure, à un réemboitage qui ne serait pas signalé, ou à de fausses armes… mais on pense moins souvent aux fausses reliures elles-mêmes.
Et pour cause, compte-tenu des efforts que demande une reliure d’artiste, un faux, pour être crédible aux yeux des experts, demanderait une telle expertise et une telle quantité de travail, que le retour sur investissement ne serait pas garanti.
Il existe pourtant un exemple récent de faux en reliure, aux frontières de la bibliophilie, ce qui explique le succès que cette entreprise de contrefaçon a rencontré, c'est l'exemple du faussaire italien italien Icilio Federico Joni
Si vous brûlez de tout savoir sur lui, je vous donne rendez-vous sur bibliophilie.com, la nouvelle version du blog du bibliophile! H
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